Je me sentais pousser à passer à l’action ces derniers jours, j’ai alors fait ce qui me semblait plus juste selon ma conscience du moment, communiquer avec des médias d’information, des organismes de santé publique, et des députés et ministre, même le premier ministre lui-même. Voici un des dernier message type que j’ai transmis aux députés/ministre:

Bonjour « M ou Mme x »,

Je suis un citoyen de notre belle province, ayant de grandes préoccupations, dont l’une d’entre elles que j’aimerais vous faire part, bien que je sois conscient de votre pouvoir limité sur le sujet. C’est pour cette raison que j’ai fait et ferai aussi appel à plusieurs autres personnes, en politique, dans le domaine de la santé et aussi dans les médias. Et comme le dicton le veut, petit train va loin…

Je suis conscient que nous faisons face à une pandémie et que nous devons tous faire des efforts pour en limiter les dommages, directs ou indirects. Nous commençons à ressentir les effets dévastateurs qu’ont les restrictions actuelles sur le moral de la population en générale, et les conséquences économiques ne seront surement pas moindres. J’ai de bonnes raisons de croire qu’il y a des outils qui pourraient nous aider à mieux maitriser la situation épidémiologique, pour peut-être éventuellement en venir plus rapidement à pouvoir relaxer certaines mesures, du moins celles qui ont le plus d’impact néfaste sur les population et l’économie.

C’est sur le sujet des possibles traitements pour la COVID-19. Vous conviendrez que si jamais un traitement pouvait réduire le nombre de décès, le nombre des hospitalisations, et possiblement le nombre d’infections, nous pourrions vraiment aider à faire baisser la pression actuelle, autant sur les populations que sur les services hospitaliers. Je sais qu’il y eu toute une polémique médiatique sur l’un d’eux l’an passé, mais bien que le centre universitaire IHU Méditerrané infection de Marseille l’utilise toujours en date d’aujourd’hui pour ses patients, ce n’est pas de ce dernier dont je veux parler.

Il y a plusieurs médecins et scientifiques à travers le monde qui ont mis en évidence une molécule prouvée efficace à plusieurs niveaux de la maladie, que ce soit en prophylaxie, en traitement précoce ou plus tardif, les résultats de méta analyse montre que ce n’est pas une question de savoir si oui ou non ce traitement pouvait nous éviter des décès « inutiles », mais plutôt combien on pouvait en éviter… Cette molécule semble même montrer une action positive sur les cas de COVID long, alors…

Tout d’abord, il y a une alliance qui s’est formée aux États-Unis, dont le président le Dr Pierre Kory est directeur d’une unité de soins intensifs au Wisconsin, qui est le « Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) https://covid19criticalcare.com/ Sans être le premier, il est l’un de ceux qui ont le plus mis de l’avant l’efficacité et l’innocuité de cette molécule qu’est l’Ivermectine. Il y a aussi une médecin et chercheuse britannique qui a réalisé une méta analyse de maintes études sur le sujet, la Dr Tess Lawrie qui est une habituée de ce type de d’analyse, entre autres pour l’OMS. https://www.e-bmc.co.uk/ J’aimerais vous partager une interview de ce même médecin par une médecin canadienne, Dr Jennifer Hibberd https://vimeo.com/506730138 Et ce ne sont pas les seuls médecins qui en parlent ET PLUSIEURS L’UTILISENT AVEC SUCCÈS.

Pour l’innocuité de l’Ivermectine, si on regarde les différents systèmes de données sur le suivi des effets adverses des médicaments dans différents pays, on peut constater que sur près de 40 ans d’utilisation, après des milliards de doses administrées, elle est plus sécuritaire (moins d’effets adverse), et de loin, que les vaccins actuels (peu importe le manufacturier). Vous conviendrez qu’un traitement est donné principalement à des malades, donc ici pour la COVID-19, le serait pour une petite partie de la population, soit malade, soit à risque, tandis qu’un vaccin est administré à une majorité de la population, et surtout à des personnes en santé, donc normalement pour un vaccin on est prêt à accepter moins de risques… Je ne mettrai pas de lien ici sur des accidents vaccinales COVID, là n’est pas mon but, et je ne suis pas anti-vaccin (mais un pro choix), c’est juste à titre de comparaison.

On peut clairement constater, après avoir étudié le dossier en profondeur, que ce traitement est malmené sans raison. En temps d’urgence sanitaire, en temps de pandémie, quand nous avons une molécule aussi sécuritaire (ici on ne parle pas de l’Ivermectine vétérinaire avec des doses de cheval, mais bien de celle normalement prescrite à des humains avec des doses normales pour un humain), et qu’il y a autant de bonnes raisons de croire, selon la très grande majorité des études réalisées, que celle-ci pourrait éviter des décès, je pense que tout dirigeant et autorité de santé publique avec une conscience bienveillante envers la population se devrait d’au minimum utiliser ces traitement pour les personnes hospitalisées ou diagnostiquées positives avec facteurs de risques de complications. On devrait du même coup mandater les manufacturier de celle-ci à en fabriquer en quantité accru pour combler les nouveaux besoins.

Avec tout ce que le Dr Pierre Kory aux USA et Dr Tess Lawrie au R.-U. ont dû faire face, je suis outré de constater à quel point les pressions et pouvoirs, possiblement de l’industrie pharmaceutique entre autres, peuvent être autant puissants, jusqu’à nuire à la santé publique des populations… On s’entend qu’un traitement génériqué (dont le brevet est échu) et données à une minorité de la population est moins payant qu’un nouveau vaccin, d’un nouveau type, breveté, peut-être révolutionnaire mais quand même assez expérimental pour ce qui est des effets à moyens et à long terme, et n’ayant obtenu qu’une approbation d’utilisation d’urgence mais non une approbation tel que le sont les vaccins en temps normal après toutes les phases d’essais COMPLÉTÉES et TOUS LES PARAMÈTRES de pharmacovigilance étudiés, et surtout sera donné à la majorité des population mondiales, et donc vraiment plus payant.

Je me demande comment est-ce qu’on puisse en être arrivé, qu’en temps de pandémie, lorsqu’il y a des décès chaque jour, à être plus axé sur une UNIQUE solution payante, qui ne peut rien pour les hospitalisations actuelles et dans un futur plus ou moins rapproché, le temps que la majorité de la population ne soit tous vacciné, dans plusieurs mois, avec 2 doses, incluant la période de quelques semaine pour produire une immunité, et possiblement des mises à jour de vaccin nécessaire pour certains variants, actuels ou futurs, qui pourraient échapper à l’immunité induite par les premiers vaccins. Quand nous savons qu’à l’heure actuel, il n’y a aucun traitement précoce de prescrit pour prévenir les cas plus sévères, avons-nous le loisir de mettre de côté une solution alternative, peu dispendieuse, qui pourrait être complémentaire aux vaccins, et qui aurait la possibilité de sauver des vies dès maintenant ?

Il y a aussi d’autres outils, essentiel au système immunitaire et efficaces contre les infections virales, dont je n’ai jamais entendu parler de la part des autorités de santé publique, ce à quoi en temps de « guerre » contre un virus on aurait pu s’attendre. Il y a les vitamines C, les vitamines D, le Zinc, ainsi que l’exercice physique. Il y a aussi des facteurs nocifs pour nos défenses immunitaire, comme le stress, la peur, le manque de sommeil. Si je prends l’exemple de la vitamine D, il y a de maintes études qui montre une corrélation directe entre le fait que les personnes les plus sévèrement touché par la covid (incluant les décès) avait un taux de vitamine D déficitaire dans le sang, contrairement qu’aux personnes ayant le moins de symptômes ont des taux plus élevés de vitamine D dans le sang. J’en conviens que corrélation n’est pas la même chose que causalité, mais quand il y a une aussi forte corrélation, que, quand nous avons un doute raisonnable de croire que, et que nous avons affaire à une vitamine qui ne coute pas cher et qui est aussi inoffensive, je crois qu’encore une fois, en temps de « guerre » on devrait utiliser tous les moyens à notre disposition…

De plus nous savons que la principale source de cette vitamine vient de notre propre corps qui la synthétise à partir d’un type de cholestérol avec l’action des rayons UVB du soleil, et que pour nous en pays nordiques, hormis pour les quelques mois d’été (et encore, les crèmes solaires en empêche la synthèse), le soleil est trop bas dans le ciel et les rayons trop faible pour permettre cette synthèse, et donc qu’une majorité de la population est en déficit.

J’aimerais aussi citer un exemple du NIH aux USA qui ne recommande pas de prendre cette vitamine, mais dont le directeur d’une des ailes de ce centre (le NIAID), le Dr Antony Fauci, et conseillé du gouvernement américain, a admis en entrevu prendre lui-même 9000 UI de vitamine D par jour, alors s’il n’était pas convaincu de son utilité, pourquoi en prendre lui-même !!!

Il y a aussi une directive dont j’avais eu vent au printemps dernier et dont j’ai pu mettre la main, du moins pour le CIUSSS de la capitale nationale, qui me préoccupe, soit de retirer les vitamines D pour les patients en CHSLD. Je ne sais pas si cette directive avait été donnée à la grandeur de la province, mais J’ESPÈRE DE TOUT CŒUR qu’elle a été retirée depuis !!

On la trouve en page 5 de ce document :

Je peux imaginer que la majorité des patients en CHSLD ne reçoivent pas uniquement cette vitamine, mais doivent recevoir plusieurs autres médications en plus de celle-ci, donc je ne vois pas en quoi le fait d’apporter chaque jour à un patient, par exemple 8-12 médicaments versus 4-8 changerait quoi que ce soit pour limiter les interactions et propagations d’un virus…

J’en viens à me demander, est-ce que ce qui est demandé à la population, soit de faire des efforts très grand pour sauver la vie des gens les plus fragiles, est autant fait du côté des autorités en place ? Permettez-moi d’en douter…

Je vous laisse sur cette note, en espérant que la CONSCIENCE BIENVEILLANTE envers les êtres humains passera avant la soif du pouvoir et de l’argent…

Je vous souhaite une bonne santé et une guidance bienveillante,

Jean-Sébastien Roy