• Lorenbeau zabeau @lorenbeau mar 27 Avr 2021

    Voici une vidéo sur la façon dont la crise du covid-19 a été gérée, en France et aussi partout dans le monde.

    https://lbry.tv/@sand:2/MAL-TRAIT%C3%89S—Covid19,-le-documentaire-choc:d

    Vous verrez par vous-même que seulement le vaccin est amené comme solution, dans la résolution de ce problème, que les autres coté du traitement comme les vitamines c et d associé avec du zinc.

    Un autre vidéo ici sur le même sujet et traité autrement :

    Et cette vidéo démontre les recours possibles en cours pénale international.

    Nous voyons que la santé des patientes n’est pas la priorité de big pharma, et le secteur privé, et que seulement l’appât du gain entre dans leur vision de soin de la maladie. Big pharma fait des profits colossaux sur les hommes, femmes et enfants libre du Québec, du Canada et du monde entier. Cela c’est de la non assistance à des hommes, femmes, et enfants libre, qui sont en danger de mort, sur le territoire du Nitassinan, et de la planète entière.
    La gérance de cette crise a couté, un nombre de vie à des gens âgés qui sont en chsld, qui ont été mal traité. Ils sont mort de faim, de soif, et laisser à leur sort sans que personne ne soient imputé de cet état de fait C’est de la négligence criminel, et non assistance à des humains en danger.

    Les vaccins vont rapporter gros, pour l’establishment, les banquiers internationaux, la fédéral réserve banque. Le premier ministre du canada parle de réinitialisation de la dette.
    (Dette dû à la covid-19 pour nous le Québec, le Canada et le monde entier…)
    À chaque problème, sa réponse.
    Nous avons la dette par la fait de la signature du dominion (signé par le premier ministre du Canada Pierre Elliot Trudeau, et, ça a donné le pouvoir sur la création monétaire au secteur privé.

    Graphique de l’Institut Fraser

    Comme le démontre ce graphique de l’Institut Fraser: admirez la stabilité de notre dette de 1867 à 1974. Attaboy! Ça, c’était de la saine gestion! Puis vint le «coupable»: Pierre Elliott Trudeau…
    La grande infamie de Pierre Elliott Trudeau
    L’élément déclencheur: le 26 juin 1974, la banque Allemande Hestatt fait faillite et ébranle durement le monde financier. Il n’en faut pas plus pour donner des sueurs froides à toute l’industrie bancaire. Les banquiers prennent conscience qu’ils ne sont pas intouchables. Alertés par cette situation problématique, les gouverneurs des plus grandes banques centrales, dont le gouverneur de la Banque du Canada, Gerald Bouey, se réunissent pour trouver une solution afin d’améliorer la stabilité du système bancaire international. Il leur faut plus de cash. Le groupe des «groupe des dix plus grands pays riches» (G10) crée donc le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. De cette réunion sort ce consensus machiavélique:
    «Pour financer ses activités, le Canada devra cesser d’emprunter de l’argent à sa propre Banque centrale du Canada (publique) et devra commencer à emprunter à des banques (privées).»
    En 1974, Pierre Elliott Trudeau, en compagnie de son ministre des finances John Turner, accepte la proposition du G10. À partir de 1974 pour financer ses infrastructures, le Canada fait le choix «stupide» d’emprunter à des créanciers privés. En clair, dorénavant les intérêts payés sur la dette ne retournent plus dans les coffres du gouvernement, mais bien à des intérêts privés.
    «Pierre-Elliott Trudeau a fait la folie de déléguer la souveraineté monétaire du Canada à un groupe de banquiers privés internationaux. Scandale»
    Les grands projets sont remplacés par «il faut payer des intérêts sur notre dette»
    Avant 1974, nous construisions des égouts, des boulevards et des ponts. Aujourd’hui, on peine à «patcher » les nids de poule qui sillonnent nos routes. Qu’a-t-on construit d’extraordinaire depuis 42 ans qui justifie une augmentation accélérée de notre dette de plus de 3000 %? La réponse: absolument rien. Nada. Niet. Nothing.
    Avant 1974, nous empruntions à une banque publique, ce qui ajoutait des revenus dans les coffres de l’État, de la même façon qu’Hydro-Québec et la SAQ versent un dividende au gouvernement québécois. Aujourd’hui, chaque fois qu’on construit un pont, ton banquier s’enrichit.
    Pourquoi le gouvernement a de moins en moins d’argent?
    Parce que les banquiers ont de plus en plus d’argent. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. En 2014-2015, les intérêts payés sur la dette canadienne ont dépassé 60 milliards de dollars, un record. Pendant ce temps en 2015 les banques canadiennes ont engrangé un bénéfice net record de près de 35 milliards de dollars . Coïncidence?
    Voguer de record en record
    Depuis 42 ans, sous le couvert du mot dette, vos taxes et impôts sont détournés, de plus en plus, dans les coffres des grandes banques d’ici et d’ailleurs.
    «Si le peuple comprenait notre système bancaire et monétaire, il y aurait une révolution avant demain.» – Henry Ford
    La solution
    Le gouvernement doit cesser d’emprunter auprès des banques privées et il doit recommencer à emprunter, virtuellement sans intérêt, auprès de la Banque Centrale du Canada.
    En d’autres mots, à chaque fois qu’on te parle de la dette du Québec ou de celle du Canada la solution est simple: Back to the past!
    Source :


    En fin de compte la réinitialisation ne sert qu’aux multi millionnaires, à l’establishment, aux banquiers internationaux privés. Comment doit-on nommé un tel état de fait?
    C’est de l’aveuglement volontaire…de nos partis politique…de nos élus.

    Un reset de nos dettes, doit être conditionnel à du : sans intérêt, et réacheminer la création de la monnaie .à qui il appartient, c’est-à-dire le peuple.

    Face caché de notre dette odieuse..
    Dette odieuse, c’est quoi?

    Dans de nombreux pays, une dictature a laissé en héritage une dette colossale. Cette dette odieuse, qui a servi à renforcer et enrichir un régime despotique, n’a pas à être remboursée par les populations meurtries par ce même régime. A travers 4 pays emblématiques, Frédéric Chauvreau et Damien millet nous font suivre 4 destins pétris de révolte et d’espoir. Le vieux congolais, la danseuse indonésienne, la mère irakienne, le jeune argentin incarnent les ravages d’une dette odieuse. Depuis le début des années 1980, le mécanisme de la dette permet au fonds monétaire international, à la banque mondiale et à quelques grandes puissances d’exercer une domination implacable sur des milliards d’hommes et de femmes dont les droits fondamentaux sont bafoués. Dès lors, l’annulation totale et inconditionnelle de la dette du tiers monde constitue le premier pas indispensable vers la construction d’un monde soucieux d’égalité, de fraternité et de justice. Pour la première fois, une bande dessinée aborde un axe majeur de ce combat : la dette odieuse.

    Dette odieuse : définition de Dette odieuse et synonymes de Dette odieuse (français)

    La dette que nous avons est une dette odieuse, et cette nous n’en sommes pas redevable …

    La dette odieuse est une jurisprudence[1] avancée par certains auteurs en matière de droit international relative à une dette contractée par un régime, et qui sert à financer des actions contre l’intérêt des citoyens de l’État et dont les créanciers avaient connaissance. On parle aussi de « dette odieuse » lorsqu’elle a été contractée par une dictature et qu’elle doit être remboursée lors de la transition démocratique.
    Dans cette optique, ces dettes sont considérées comme des dettes du régime qui les a contractées, et non pas de l’État en entier.

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